Et si c'était ça l'inné ?

Et si c'était ça l'inné ? la détermination, savoir dès le départ ou on veut aller et se donner les moyens de réussir :

et tant que l'on a pas réussi, ça s'appelle de la prétention?
la barrière est toujours étroite entre l'ambition et la prétention .
mais il faut être ambitieux pour progresser et arriver à ses objectifs.

C' est évident que si tu as l' ambition , tu as le mental.
Hélas, ceux qui ont l' ambition sont assez nombreux , et il n' y a qu' un champion olympique .

Nédeleg29 a écrit:C' est évident que si tu as l' ambition , tu as le mental.,
Hélas, ceux qui ont l' ambition sont assez nombreux , et il n' y a qu' un champion olympique .

Pas forcément ! Deux françaises par exemple : Christine Arron et Amélie Mauresmo... Deux filles qui bloquaient le moment venu...

@++
Sougil - Mis au jean

je suis assez d'accord avec sougil,
être trop ambitieux peut être un frein à sa carrière, tant sur le point du mental : accorder trop d'importance au résultat,
que sur le plan relationnel : être prêt à tout pour réussir, quitte à écraser les autres ou être invivable avec ses partenaires de jeu ou de sport.....

Sougil a écrit:

Nédeleg29 a écrit:C' est évident que si tu as l' ambition , tu as le mental.,
Hélas, ceux qui ont l' ambition sont assez nombreux , et il n' y a qu' un champion olympique .

Pas forcément ! Deux françaises par exemple : Christine Arron et Amélie Mauresmo... Deux filles qui bloquaient le moment venu...

@++
Sougil - Mis au jean

Bonsoir
Christine Arron est championne d'europe du 100 et 4X100. Elle est surtout championne du monde du 4X100 l'épreuve la plus technique du sprint en 2003 à...Paris.
Amélie Mauresmo est la seule joueuse française à avoir gagné deux tournois du grand chelem et à avoir été numéro 1 mondiale.

Ces deux femmes ont été des athlètes du très haut niveau. Elle ont chacune au bas mot, pour remettre les choses à leur place, le mental de dix sougil des grands jours.
Accéder au très niveau dans des sports comme le tennis et particulièrement l'athlé nécessite des qualités mentales hors normes pour le commun des mortels et y inscrire son nom dans les palmarès demande de franchir encore des paliers supplémentaires.
Il ne faut pas prendre argent comptant les déclarations d'observateurs plus ou moins avertis et autres journalistes sportifs qui ne connaissent du sport que les palmarès.
Ce qui a sans doute manqué à ces deux athlètes c'est un encadrement fort, car il faut savoir que lorsque c'est l'athlète qui paie l'entraîneur, ce dernier peut parfois avoir des scrupules, des retenues à dire les vérités qui fâchent.
C'est une des raisons pour lesquelles souvent nos sportifs sont brillants dans les catégories jeunes et moins en senior. En sénior, il devienne le patron d'une petite PME (agent et avocat, préparateur physique, entraîneur...), ce qui ne va pas sans modifier les rapports entaîneur/entraîné.

La principale condition pour être un champion, au delà des qualités requises pour la discipline, est la motivation intrinsèque (l'animus) autrement dit l'ambition (projet de vie) et sa traduction dans les faits, la détermination (projet sportif et arborescence d'objectifs qu'on se fixe).
Pour tout entraîneur, quel que soit le sport, motivation et détermination sont des conditions indispensables pour entreprendre un travail de qualité.

Bonjour
certainement Tunta. Et si on rapproche cela du titre du sujet de ce forum on répondra à la question par la négative.
En effet, lorsque le sportif va chercher son optimum de motivation dans ce qu'on pourrait appeler une revanche sur la vie, ou un rapport à sa condition dans la société, on rentre dans le domaine de la réaction à son propre vécu, ou celui qui semble nous être destiné. On est dans ce cas dans le domaine contextuel, conjoncturel, culturel (l'acquis donc) et aucunement dans je ne sais quelle prétendue dotation originelle (innée).

Je pense qu'on fait souvent une confusion entre l'inné et ce que j’appellerais " l’acquis passif".
Il est un certains nombre de choses qui nous compose et que l'on a pas acquis de manière active , que l'on a pas chercher à apprendre ou à avoir mais qui sont le fait de notre entourage, notre parcours de vie etc...

Une chose amusante c'est que j'ai vu que certains déduisaient de la précocité de D.R. une preuve du caractère inné du haut niveau à la pétanque alors que j'y voit pour ma part une preuve de l'importance de cet acquis passif.
Un père éducateur dans l'âme et champion sur le terrain... Ça créer forcement des conditions très propice à l’acquisition passive justement.
Ça n’enlève rien ni au mérite de D.R. ni au fait qu'il a sans doute travaillé beaucoup pour être a son niveau.
Avoir d'excellente conditions d'acquisition d'un savoir optimise les chances de le maîtriser mais ne peut en aucun cas suffire.

Pour Dylan Rocher je vous conseille de regarder cette émission :

Par contre il faut bien le constater, ceux qui ont une revanche à prendre sur la vie ou sur un événement, donc les personnes les plus motivées, se dirigent rarement vers la pétanque, probablement pour en raisons des caractéristiques intrinsèques de ce sport mais probablement aussi en raison de l'image de véhiculé.

Excellente cette vidéo ! Hop ! Je partage sue mon site !

@++
Sougil - Fichtre

bjr ,

Ceux qui parlent de l'inné a la pétanque me font un peu rigoler.

Bien sur on ne part pas tous sur un pied d'égalité , mais je peux vous dire que bons nombres de champions se sont entrainés des heures chaque jours dans leurs jeunesses..

Un jeune joueur moyen avec un gros mental qui s'entaine régulièrement montera vite de niveau

J'ai entendu dire que Suchaud jeune personne n'en voulait ...lol

Et la famille Rocher , c'est des heures de pétanque régulièrement .. re lol

Et puis il suffit un jour de tomber dans la bonne filière et d'etre bien encadré .. re re lol

Ce qui compte le plus c'est l'envie de gagner et un gros mental ...tout le reste s'apprend sur le tas

chriistiian@